Accueil » actualités, les courses

On a joué les lucioles! par Alex Corlet

18 janvier 2019 vu 1 527 fois Pas de commentaire

voir l’album de la rando

Et oui une fois de plus entrainé par notre grand gourou Rene Faure, le Speedy a pris d’assaut notre fierté Provençale. 

Celle que tous bon touriste, peintre, randonneur, coureur rêve de conquérir: La sainte Victoire. Et son Prieuré!

Mais de nuit c’est mieux, et en nombre c’’est encore mieux, je dirais une bonne cinquantaine, parce que pour compter les ampoules de nuits et qui sautille dans tous les sens, sans moi.

Deux départs possibles, du parking des Cabassols a Vauvenargues ou du Pont de l’anchois, l’art de s’adapter aux disponibilités et a la forme de chacun, et oui c’est encore et aussi ça le Speedy.

Pour ma part et comme le plus grand nombre, départ des Cabassols 18h, en fait ce n’est pas vrai j’ai fait attendre tout le monde 18h10. Recevez mes plus plates excuses.

Ascension tranquillou, ça fait longtemps qu’on ce n’est pas vu, et blablabla et blablabla, et bizarrement ça accélère, ça monte et moins de blablas mais des respirations plus rapides. 

On commence à faire le tri, c’’est vraiment raide.

Nous on a la forme donc on monte en mode compette, tu parles presser d’arrivé boire un coup, on ne sera pas déçus.

Le prieuré ouf, halte terminus! tout le monde descend, non pas tous de suite, eh! non ho!

On se change, car malgré le froid, nos tshirt son tremper de sueur.

De valeureux Speedyens on livrer des buches, donc c’’est parti pour un bon feu de cheminée, et bien sûr grillade partie.

Un détail, un pauvre Pellerin venu se recueillir, et passer la nuit au prieuré, ce n’était pas une bonne idée, parce que nous on était chaud bouillant.

En offrande à la déesse sainte Victoire, les lucioles ont déposé sur une immense table, du vin, charcuterie, petit plat maison, gâteau, et liqueur.

Mais finalement par souci d’’offrir des mets de la plus haute qualité nous avons préféré tout gouter.

Et oui on a bien gouté, René a bien tenté un discours, mais c’était sans compter sur notre grand coache Jean Claude qui, dopé par des produits non homologués mais fait maison, à presque tenté la chansonnette, et lui a volé, oui volé, son moment de gloire! (Ouf merci Jean Claude).

Et oui on a bien gouté, René a bien tenté un discours, mais c’était sans compter sur notre grand coache Jean Claude qui, dopé par des produits non homologués mais fait maison, à presque tenté la chansonnette, et lui a volé, oui volé, son moment de gloire! (Ouf merci Jean Claude)

Donc le discours, René, ce sera pour le jour de la galette, sinon tu pourras toujours à la Venelloise, bon on aura l’’occasion.

Allez faut bien se résoudre, va falloir redescendre, et me demandez pas à quelle heure, si vous croyez que dans mon état c’’était mon souci!

Allez on range, faut que ce soit nickel pour l’’année prochaine.

Une petite photo de groupe.

Nous on est toujours chaud bouillant, on descend en cavalant, c’’est plus drôle, et puis chacun à son rythme!

On se fait pas mal, quelques petites glissades sans gravité, et hop tout le monde est en bas.

Et blablas, et oui faut qu’’on se quitte, sniff, c’était trop bien !

Un petit bémol, en rentrant chez elle en voiture, Hélène, que je ne connais pas, a sauvagement attaqué un sanglier.

Franchement Hélène ce n’est pas cool de ta part. Je te laisse mon numéro 0681560859 afin de partager un civet de sanglier.

Nous on pourra dire qu’’on y était !

Alexandre (Corlet)

et revoir l’album